Grande orientale : Docteur Irénée ABIBI tente une réunification pour la défense de l’intérêt commun

Dans une dépêche parvevenue à lecoqdelest.com mercredi 13 janvier 2021, le Médecin chercheur à l’Université de Kinshasa, un des notables ayant participé aux consultations nationales avec le Président de la République, Docteur Irénée ABIBI a indiqué à qu’après la promulgation par le chef de l’État de la loi n. 15/004 du 28 fév 2015, la province orientale a été démembrée le 11 juillet 2015 en quatres nouvelles provinces: Bas Uele, Haut Uele, Ituri et Tshopo. Le 21 juillet 2015 les élites de la grande orientale avaient déclarés  » L’ESPRIT de la Grande Orientale » dont l’ambition était de se constituer en un socle fédérateur des forces vives des ressortissants de la Grande Orientale pour PÉRENNISER, PROTÉGER et VEHICULER les valeurs HOSPITALIÈRES, HISTORIQUES, SOCIOLOGIQUES, ÉCONOMIQUES et POLITIQUES de la Grande Orientale, d’autant plus qu’il est démontré que les grandes questions d’intérêt général ne peuvent bien se négocier que dans un contexte global plutôt que singulier car  » L’UNION FAIT LA FORCE ».

Ce chercheur d’université pense faire de la grande orientale un bloc commun pour sa défense malgré son éclatement administratif, c’est pourquoi à l’encroire, six ans passés depuis le démembrement : » Nous assistons à une descente aux enfers de nos intérêts socioéconomiques et politiques communs », a-t-il regretté avant de préciser que son leitmotiv face à cet état de chose est de tenter une nouvelle expérience certes difficile mais pas impossible. Déjà un forum Watsap ,réunissant les cadres de la grande orientale est créé enfin de recueiller tous les points de vue avant une formalisation des actions communes.

 » Cette plage se veut être un carrefour d’information et de discussions depassionnées sur les questions qui touchent les intérêts de la Grande Orientale dans les aspects décrits ci-dessus, ceci dans la convivialité, l’argumentation objective tout en respectant l’opinion des autres.
L’option finale et sublime serait de voir nos différentes discussions aboutir à des actions de nature syndicale pour l’intérêt supérieur de la Grande Orientale.
C’est ça mon rêve, mais si deux, trois quatre cinq personnes rêvent d’une même chose, c’est le début d’une réalité…
Mettons nous à l’œuvre, car c’est possible » conclut-il.

Dieu Merci THUAMBE