Djugu : des hôtels sont également des souffre-douleurs des attaques armées dans plusieurs entités

Plusieurs centres commerciaux du territoire de Djugu possèdent des hôtels, essentiellement conçus pour la réception des personnes en mission, venant des autres entités (plus souvent des humanitaires, agents de distinctes organisations y exécutant des projets, les agents de l’état).

Il arrive par malheur que le milieu soit attaqué par les miliciens de la coopérative pour le développement du Congo (CODECO), y compris les hôtels et les clients qui y sont, personne n’est épargné de conséquences. Parmi les cas répertoriés, l’on note celui de l’hôtel-Bar Panter de la commune rurale de Mongwalu, située à plus au moins 85 km au nord-ouest de la ville de Bunia. Cet hôtel-Bar du quartier Kilomoto précisément à Saio a été rendu complètement à cendre ce 05 juillet 2022 par les miliciens et tous les biens qui s’y trouvaient, rapportent des sources dans la zone.

Dans le centre de négoce de Lisey, dans le secteur de Banyali-kilo, plusieurs hôtels ; Bars, restaurants et des maisons étaient parti en fumé le juin de la même année. Le bilan définitif des personnes tuées, maisons incendiées, biens emportés de cette incursion de la milice CODECO dans cette entité de Banyali-kilo n’a été révèle à la presse jusqu’à ce jour. Cependant, l’on avance un bilan provisoire d’une trentaine de personnes tuées et plusieurs maisons incendiées. Au village Ala, groupement Dzuna du secteur des Walendu Pitsi, territoire de Djugu, les Groupes armés FRPI et chini ya Kilima ont également détruits plusieurs hôtels où des humanitaires résidaient momentanément.

Selon les sources locales de ce même 5 Juillet 2022, nombreux, tjrs sont les hôtels et certains positions de l’armée et dépôts des armes et munitions récupérés auprès des groupes armés et stockés qui devraient être identifiés, répertoriés et enregistrés par une équipe des officiels en mission, qui ont été la cible des éléments incontrôlés de la milice CODECO, surtout dans des milieux où l’Or est exploité. Voulant extorquer un exploitant minier, des victimes des dégâts collatéraux des actes des miliciens étaient souvent d’autre clients, confirme la société civile de Fataki, jules Tchuba.

Rédaction